Ce soir, mon livre titré « MERCI » n’était plus là, mais il y en avait un autre. Je n’ai lu que les premières pages. Une histoire d’amour. Adélaïde, ses longues mains délicates, son regard saisissant ne me quittent plus. J’en veux à Pauline. Sans doute ne voulait-elle que m’offrir un peu de rêve . Oui, sans doute. Mais ma réalité l’a remplacé. Je l’ai redéposé sur la grille sans noircir de lettres.