De Marseille à Bastia
J’ai la nausée. J’étouffe. J’ai mal partout. Encore quatre heures. Dans quatre heures, ils se seront cloîtrés dans leurs cabines. Dans quatre heures je pourrai respirer, bouger, rêver. Rêver. C’est maintenant qu’il faut le faire. Pour tenir. Adélaïde. Ses cheveux au vent. Ses longues mains délicates. Son regard poignant.