Ce matin, nous avons accosté à Héraklion. Jusqu’à ce jour, la brise venue de la mer avait été très agréable. Mais aujourd’hui le vent avait forci d’un coup. J’aime pas le vent dans le visage ; ça me transperce et me fait pleurer ! Nous avons donc passé la journée dans la vieille ville, abrités du vent à siroter un rosé bien frais.